Qui a charge d’âmes: handicap et société
Avoir charge d’âme = être responsable d’une personne
Schématiser directement nos besoins :
Une personne à mobilité réduite se trouve en situation de demande de services. Une application a été conçue pour l’aider:
- Elle ouvre l’application « Qui a charge d’âme ».
- Sa position est géolocalisée.
- Une carte interactive basée sur OpenMap lui est directement proposée avec les services auxquels elle peut avoir accès (rampes, parkings, sanitaires, restaurants accessibles, soins médicaux, mais aussi et surtout, qui peut lui venir en aide pour par exemple transporter un bagage lourd, etc).
- A partir de ces options par défaut, la personne peut filtrer en indiquant par exemple son type de handicap, ses besoins, etc.
- Il est donné aussi la possibilité d’ajouter les lieux accessibles pour les « PMR » (une grille permet réellement de cocher si oui ou non ce lieu répond réellement aux critères indiqués).
- Il est également mis à disposition l’interface pour que d’autres personnes de contact puissent venir en aide aux « PMR » peuvent s’enregistrer.
- Au cas où la personne n’a pas vraiment d’aide, elle a alors la possibilité d’appuyer sur un bouton d’urgence.
Open data = Open innovation
Ouvrir les données c’est :
- Stimuler la créativité.
- Être à l’écoute du résultat, de ce qu’on fait avec les données et rebondir sur toutes ces initiatives de valorisation et exploitation de celles-ci d’une autre façon.
Il faut se rendre compte que dans les événements comme le hackathon, ce sont souvent des génies qui ne demandent qu’à exprimer leurs connaissances technologiques. J’ose vraiment espérer que les pouvoirs publics pourront en comprendre l’intérêt et en créer davantage pour laisser place à cette imagination innovante afin d’en tirer les bénéfices sur les citoyens.
Je rejoins donc toutes les personnes qui ont proposé des projets sur l’Open Data, il est plus qu’urgent de comprendre ce type d’enjeux et de permettre à tout un chacun d’utiliser ces données pour le bien de tous.